|
|
|
Litterature Nous nous interresserons ici , a la litterature et les fées, les fées en effet ont souvent etait des muses pour beaucoup d'artistes ( va savoir pourqu'oi charles donc ici nous allons nous pencher sur les cas les plus marquant et vous les retransmettre le tout commenté par les soins de votre serviteur Ze_Walrus.
Nous commencerons tout de suite pas le vif du sujet; dans ce texte troublant, ou on apprend que merlin est en fait le fils d'un nain tibetain et d'une walkyrie croisée de formose avec un doigt de ceylan dans sa composition geneitque; vraiment troublant
L’eunfant ont pris et amené Et sa mare tut ensement Devant le roj tut erraument. Et sachet ke ia mere Merlyn Fust estreyte de haut lyn FUie fut au plus haut baroun De la countré tut enviroun. Kant de fu devant le rey amené, Vortiger I’aad mout honoré Mout bel à courîseyl le appela Et mout cherement la pria Ke !a t’érité iy dévyst Comment Merlyn naquist. Sire, volez vous saver noveze Ke Jo estoe pucele (Ne vous Ierray ke n’eI vous dye) En la chambre mut swef nurrye Et kant Jo soule en chambre estoye, Et mes preyeres dire soleVe, Un oyselet i soleyt entrer Eyns devint à peu bacheler. Sovente feyte moy acola Et soventefovs moy beysa Signe me fist de grant amours, Et en issy fesoyt il tous jurs. Unkes ne fu de ly trestournant Ke il ne me apparust tut dis devant Tut dis menamus tete vie Ke trnkes ne me tocha il mye Mès après avaunt tant ala Ke il ouveke moy se cocha Ansi cum homme, et je consu, Et cest enfaunt de ly m’en oust. Unkes ne say pus où il devynt, Mês io say k il unkes ne revynt.
le premier mouvement façe a ce poeme si emouvant mais je dois avouer que ce poeme contient de nombreux sous entendu que d'aucun aurraient deja appeller "pornographie" mais je rappelle que le terme si contre ne peut s'appliquer aux fées etre volatille de par nature et irresponsable de leurs actes que je tiens a saluer pour leur presence dans notre monde post industriel . La seconde approche possible nous demontres l'existance des fées; en effet quant merlin dit a vortiger ;"Sovente feyte moy acola" il faut comprendre " souvent je feste avec mes acolytes les gnomes " ( acola etant ici un nominatif du 4 eme groupe en -iaga ). Nous excusant maintenant de l'apologie de l'inculture realisé par votre serviteur Ze_walrus nous allons maintenant passer a Shakespeare. Parlons mainteant chers lecteurs d'une des pieces les plus celebres de Shakespeare. ( enfin pas trop quand meme c juste pour faire augmenter la tension dramatique ) dont voici un resumé : Obéron, roi des fées, veut se venger de Titania qui le boude. Il commande à Puck, lutin gracieux, agile et quelque peu démoniaque, de faire gicler dans les yeux de Titania le suc d’une plante magique ainsi elle tombera amoureuse du premier être qu’elle regardera. Et Obéron veut que ce soit un monstre. Les amoureux dépités se vengent cruellement. Ils tirent également plaisir de leur vengeance. Titania tombe amoureuse de Bottom transformé en âne. Elle caresse son crin d’âne et ses oreilles d’âne. Le public rit très fort. Il rit trop fort. Il ne veut pas voir que la belle est folle de désir pour une bête. Shakespeare n’insiste pas, il lui suffit de suggérer. La scene et courte. Obéron s’est vengé, il a vu, son plaisir est double. Tout cela n’a duré qu’une nuit. Le matin, tout rentre dans l’ordre, et il y aura une fin heureuse. dans cette piece de theatre nous trouvons plusieur habitant celebre de Feerie; tout d'abord le Roi Obéron ( roi petit et malformé a cause d'un sort jetées sur ce pauvre petit bambin a son bateme, ce qui le fait passer de bourreau a victime cherchant a tout pris a se venger de la beauté de Titania "gratuite" lui qui en est follement amoureux ", ensuite le personnage de Puck lui aussi bien connu dans Faerie, espiegle sorte de satyr mi homme mi bouc. Mais dans de nombreuses piece de shakespeare le "petit peuple" apparait, dans Richard III ou le duc de Glocester ressemble physiquement a Oberon ( bossu , paralytique ... ) " Toi l'avorton, le pourceau marqué par les elfes" , mais l'apparition de faerie ce fait meme dans Macbeth ou les 3 esprits prophetesses sont elles aussi directement venues d'un monde de legende et de mythe qui ont hanté tout les personnages de Shakespeare |